Mon mari

Mon mari

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  • Create Date:2021-09-06 03:50:55
  • Update Date:2025-09-06
  • Status:finish
  • Author:Maud Ventura
  • ISBN:2378802412
  • Environment:PC/Android/iPhone/iPad/Kindle

Summary

"Excepté mes démangeaisons inexpliquées et ma passion dévorante pour mon mari, ma vie est parfaitement normale。 Rien ne déborde。 Aucune incohérence。 Aucune manie。 "
Elle a une vie parfaite。 Une belle maison, deux enfants et l'homme idéal。 Après quinze ans de vie commune, elle ne se lasse pas de dire " mon mari "。 Et pourtant elle veut plus encore : il faut qu'ils s'aiment comme au premier jour。 Alors elle note méthodiquement ses " fautes ", les peines à lui infliger, les pièges à lui tendre。 Elle se veut irréprochable et prépare minutieusement chacun de leur tête-à-tête。 Elle est follement amoureuse de son mari。 Du lundi au dimanche, la tension monte, on rit,
on s'effraie, on flirte avec le point de rupture, on se projette dans ce théâtre amoureux。

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Reviews

Chicky Poo

Une écriture étrange mais intéressante, le sujet me plaisait de prime abord, mais j'ai parfois trouvé le temps long。 La fin, comme beaucoup, m'a surprise plutôt agréablement。 Une écriture étrange mais intéressante, le sujet me plaisait de prime abord, mais j'ai parfois trouvé le temps long。 La fin, comme beaucoup, m'a surprise plutôt agréablement。 。。。more

Noina

Que diriez-vous de passer une semaine dans la tête d'une amoureuse ? Dans son premier roman, l'autrice nous invite à partager les pensées obsessionnelles d'une femme qui ne vit que pour son mari。 Jusqu'à l'épilogue (exquis!), on est captivés par cette héroïne qui, sous ses airs innocents, a plus d'un tour dans son sac pour s'assurer de l'amour de celui qu'elle ne désigne que par l'expression "mon mari", répété à l'envi。 Un psychodrame domestique digne de la maîtresse du genre, Shirley Jackson。 Que diriez-vous de passer une semaine dans la tête d'une amoureuse ? Dans son premier roman, l'autrice nous invite à partager les pensées obsessionnelles d'une femme qui ne vit que pour son mari。 Jusqu'à l'épilogue (exquis!), on est captivés par cette héroïne qui, sous ses airs innocents, a plus d'un tour dans son sac pour s'assurer de l'amour de celui qu'elle ne désigne que par l'expression "mon mari", répété à l'envi。 Un psychodrame domestique digne de la maîtresse du genre, Shirley Jackson。 。。。more

Alex-Mot-à-Mots

Premier roman de l’auteure, le titre et la couverture m’ont attiré l’oeil。 Le résumé était alléchant。Dès les premières pages, le premier jour de la semaine, on entre dans l’intimité de la narratrice, en adoration de son mari。Du mari, des deux enfants et de la narratrice, on ne connaitra jamais les prénoms。 Et l’auteure réussi le tour de force de ne jamais être lassante en désignant son mari par Mon mari。Au fur et à mesure des jours de la semaine, on découvre une femme que j’ai trouvé un peu ango Premier roman de l’auteure, le titre et la couverture m’ont attiré l’oeil。 Le résumé était alléchant。Dès les premières pages, le premier jour de la semaine, on entre dans l’intimité de la narratrice, en adoration de son mari。Du mari, des deux enfants et de la narratrice, on ne connaitra jamais les prénoms。 Et l’auteure réussi le tour de force de ne jamais être lassante en désignant son mari par Mon mari。Au fur et à mesure des jours de la semaine, on découvre une femme que j’ai trouvé un peu angoissée à l’idée de ne pas se comporter comme il faut en société (son mari travaille dans la finance et côtoie des amis bourgeois)。Mais une femme assez indépendante pour avoir quelques amants par-ci par-là ; faire des niches à son mari pour être toujours près de lui。Le dernier mot revient au fameux mari et éclaire le couple d’un nouvel éclairage réjouissant。Un roman maitrisé de bout en bout sur la vie de couple moderne。L’image que je retiendrai :Celle de a clémentine。 Lors d’une soirée, l’ami du mari pose la question de savoir qu’elle fruit serait sa femme, si elle était un fruit。 Le mari répond une clémentine, ce qui met en fureur la narratrice。https://alexmotamots。fr/mon-mari-maud。。。 。。。more

Anahaddict

En voilà un livre fort intéressant qui décortiqué les relations hétéros poussées à l'extrême。 Déstabilisant au possible, Mon mari s'interroge sur le besoin d'entrer dans la norme à tout prix。 Au prix d'une santé mentale bien fragile car il est la bien question de maladie mentale, même si rien n'est dit clairement puisque le récit est à la première personne et que nous avons le point de vue de l'épouse。 On rit, on hallucine mais on perd pied ussi, déstabilisé et angoissé par la réalité violente d En voilà un livre fort intéressant qui décortiqué les relations hétéros poussées à l'extrême。 Déstabilisant au possible, Mon mari s'interroge sur le besoin d'entrer dans la norme à tout prix。 Au prix d'une santé mentale bien fragile car il est la bien question de maladie mentale, même si rien n'est dit clairement puisque le récit est à la première personne et que nous avons le point de vue de l'épouse。 On rit, on hallucine mais on perd pied ussi, déstabilisé et angoissé par la réalité violente de notre protagoniste。 S'il y a quelques longueurs, on arrive toujours à être surpris。e, et la fin est à la hauteur du reste。 Possession, manipulation, hétéronormativité sont finement étudiés ici 。。。more

Aude Bouquine Lagandre

Rendez-vous au cœur d’un voyage d’une semaine dans lequel chaque jour comporte sa propre coloration。 Lundi bleu, mardi noir, mercredi orange, jeudi jaune, vendredi vert, samedi rouge, dimanche blanc。 À chaque jour suffit sa peine, à chaque jour son lot de pièges et d’embuscades, de représailles et de sanctions。 Elle, dont nous ignorons le prénom est mariée depuis plus de dix ans avec « mon mari », dont le prénom est également inconnu。 Sa vie ressemble à une pièce de théâtre perpétuelle où elle j Rendez-vous au cœur d’un voyage d’une semaine dans lequel chaque jour comporte sa propre coloration。 Lundi bleu, mardi noir, mercredi orange, jeudi jaune, vendredi vert, samedi rouge, dimanche blanc。 À chaque jour suffit sa peine, à chaque jour son lot de pièges et d’embuscades, de représailles et de sanctions。 Elle, dont nous ignorons le prénom est mariée depuis plus de dix ans avec « mon mari », dont le prénom est également inconnu。 Sa vie ressemble à une pièce de théâtre perpétuelle où elle joue son rôle à la perfection, parfaitement rodée au planning de « mon mari », ne laissant entrevoir d’elle que ce qui est digne d’être aperçu。 Elle ressemble à ses enfants qui jouent sur des carrelages damiers : s’ils sautent sur les cases blanches tout va bien, s’ils tombent sur les noires « mon mari » ne l’aime plus。 « Je sais que nous passerons notre vie ensemble。 Je suis la mère de ses deux enfants。 Je ne peux rien espérer de mieux, et pourtant le manque que je ressens est immense et j’attends de lui qu’il le comble。 Mais avec quelle maison, avec quel enfant, avec quel bijou, avec quelle déclaration, avec quel voyage, avec quel geste pourrait-il remplir ce qui est déjà plein ? »Cette femme clame à la face du monde à quel point elle est éperdument amoureuse de son mari。 Professeur d’anglais et traductrice, elle aime « quand chacun est à sa place dans un monde à l’équilibre。 » Sa vie est réglée comme du papier à musique。 Jour après jour, elle dévoile, petit à petit, la quantité faramineuse de ses obsessions, de chaque geste, chaque parole qu’elle interprète à sa sauce, et de chaque « punition » qu’elle met en place pour châtier ce mari de ne pas réagir tel qu’elle l’attend。 Vous êtes en couple et vous pensez avoir des attentes ? Que nenni ! « Elle » vous bat sur tous les niveaux。 Elle traque chaque sous-entendu, espionne chaque geste, analyse chaque mot。 « Elle » c’est l’œil de Moscou en jupon。 Rien ne lui échappe。 Et quand elle veut vérifier que « mon mari » l’aime toujours, elle lui tend des pièges dignes des plus grands manipulateurs。 Par exemple, elle est du genre à estimer l’amour que « mon mari » lui porte en évaluant la quantité de nourriture qu’il achète。 Sachez que plus votre mari achète de fromages, plus il vous aime。 « Elle » veut que les émotions qu’ils partagent soient celles des premiers jours : de la passion, du sexe partout et en permanence, des papillons qui virevoltent au creux de son estomac。 Joli programme… Elle prépare chacun de ses retours comme s’il était le Messie : tout doit être absolument parfait, jusqu’à l’éclairage du salon et la disposition des meubles dans l’entrée qui l’accueille。 Hors de question qu’il la trouve devant la télé。 Dans une posture nonchalante savamment travaillée, la dame n’a pas un cheveu qui dépasse。 (D’ailleurs ses cheveux c’est toute une histoire…) Elle voudrait régir ses mots, ses gestes et ses réactions。 Elle se fait des films en permanence avec des scénarios dignes de productions hollywoodiennes。 Évidemment, « mon mari » n’arrive jamais à la cheville de ses espérances。 Il faut donc le bouder, le punir, inventer des représailles, organiser des jeux de pistes en saupoudrant ci et là des indices à découvrir。 La tension augmente au rythme des jours。 Mardi noir offre un drame intersidéral aux répercussions interplanétaires qui secouent violemment cette amoureuse de l’amour。 Elle organise une petite rébellion dans sa tête qui commence par dormir les volets ouverts (oui, « mon mari » ne peut dormir que dans le noir), prend des postures de tragédienne grecque。 « Je pleure, et le pire c’est que je suis sûre que les larmes me vont bien。 Elles doivent me donner un air d’héroïne racinienne。 »Ce roman est un psychodrame dans lequel on ne sait pas s’il faut rire ou pleurer。 Le début est assez cocasse, mais on bascule rapidement vers des comportements hallucinants où l’on ne peut s’empêcher de rire et de penser que cette femme est folle, qu’elle est une actrice ratée qui joue sur la scène de son mariage un rôle totalement préfabriqué dans lequel la comédie, et les apparences tiennent une place prépondérante。 « Mon mari » est une pièce de boulevard burlesque dans laquelle une bonne femme parfaitement coiffée en tailleur Channel et en escarpins de 12 flique un homme qui a l’air bien sous tous rapports。 Elle a des « statements » hilarants sur ce qu’est un couple parfait et ce qu’elle doit faire au quotidien pour être l’épouse parfaite。 Mystérieuse, pudique, secrète, elle ose tout pour un seul but : savoir si « mon mari » l’aime toujours。 Ainsi, vous apprendrez que même après dix ans de mariage, il est hors de question que « mon mari » l’entende aller aux toilettes, qu’il connaisse la véritable couleur de ses cheveux et « qu’ils » ont passé l’âge des préliminaires et « elle » des fellations le jeudi, jour officiel du rapport conjugal。 Des scènes hilarantes se succèdent où « Elle » ne voit pas l’essentiel, totalement occupée à remplir ses petits carnets de notes sur ce qu’il a fait, ou oublié de faire。 Le cerveau en constante ébullition, elle se pose des milliards de questions comme « Au bout de combien de récurrences à voir la même personne nue cesse-t-on de s’en émouvoir ou de trouver ça excitant ? À partir de quand la magie s’efface-t-elle ? » Mais… avouons quand même que Maud Ventura met les pieds dans le plat en pointant du doigt un petit morceau de notre folie purement féminine。 Chacune saura se reconnaîtra en « Elle »。J’ai ri, j’ai été excédée, j’ai eu pitié alors que je comprenais pourtant ses motivations。 « Mon mari » met l’accent sur la difficulté de garder un couple vivant, de conserver une part de mystère malgré la proximité quotidienne。 L’excès de ses réactions dont le trait est poussé à l’extrême suscite le rire, l’absence de réactions de « mon mari » agace… « Plus généralement, que mon mari existât avant même de me rencontrer me paraît irréel et même révoltant。 » Il faut oser… sachant que « elle » n’est pas tout à fait une oie blanche, et que « mon mari » n’est pas un jeune premier… Maud Ventura orchestre une fin jouissive, même si je l’avais un peu vue venir, mais elle donne un nouvel axe de réflexion à ce texte particulièrement truculent, qui, quoi qu’on en pense, suscite des émotions。 。。。more

Marie Heinic

Un premier roman prometteur, avec une vraie idée originale: une semaine dans la vie d’un couple parfait en apparence。 J’ai trouvé le concept plus charmant que son application, le récit trainait en longueur et l’intrigue a peu de rebondissements, il s’agit plutôt d’un livre d’atmosphère avec une écriture pleine de potentiel。 Point bonus pour l’épilogue qui m’a surprise et clôt parfaitement le récit, glaçant à souhait。

Sonia Pupier Goetz

C’est avec « Mon mari » que j’ai ouvert les festivités de cette rentrée littéraire。Croyez-moi, après cette lecture, vous n’allez plus jamais regarder votre moitié de la même façon !Voilà un roman court, original, et innovant ! Notre narratrice est mariée depuis quinze ans, deux enfants, une belle place dans la société, une grande maison, l’opulence transpire chez cette famille。 Elle est follement amoureuse de « son mari », d’ailleurs, jamais nous ne saurons le prénom dudit mari。 Elle est dans un C’est avec « Mon mari » que j’ai ouvert les festivités de cette rentrée littéraire。Croyez-moi, après cette lecture, vous n’allez plus jamais regarder votre moitié de la même façon !Voilà un roman court, original, et innovant ! Notre narratrice est mariée depuis quinze ans, deux enfants, une belle place dans la société, une grande maison, l’opulence transpire chez cette famille。 Elle est follement amoureuse de « son mari », d’ailleurs, jamais nous ne saurons le prénom dudit mari。 Elle est dans une relation totalement dépendante et fusionnelle。 Un amour possessif, jaloux, maladif, exclusif, une passion dévorante。 Elle n’a besoin de rien d’autre que de l’amour de son mari pour vivre et connaître le bonheur absolu。 Sauf qu’elle ne peut s’empêcher de douter de la profondeur des sentiments de son mari envers elle。Nous allons la suivre durant une semaine。 Chaque journée est rattachée à une couleur et un état d’esprit。 Le mardi par exemple, jour de Mars, le Dieu de la Guerre, est associé au noir。 Partant de là, le mardi, il faut faire profil bas, car tout peut partir en catastrophe。 Vous l’aurez compris, notre narratrice a l’esprit retors, et encore, vous n’avez rien vu ! Plus j’avançais dans ma lecture, et plus j’ai halluciné ! La narratrice se fait des films, se monte le bourrichon toute seule, un truc de dingue ! Elle est la reine du self-control (elle m’a indéniablement fait penser à Bree dans la série TV « Desperate housewife »), elle met en place des stratagèmes incroyables pour tester l’amour de son mari, le punissant insidieusement à chaque erreur ou manquement。« Mon mari » est une formidable étude du couple, de l’amour, du doute, de la confiance。 La plume est nette, franche, elle dissèque l’état d’esprit de la narratrice avec un talent indéniable。 On sourit, on frémit, on juge et on s’interroge。 Je me suis demandée où j’en étais dans mon couple sur l’échelle de l’amour。 « J’ai lu quelque part qu’il existait trois sortes de femmes : l’amoureuse, la maîtresse et la mère。(…) la plupart du temps, je suis trop occupée à être amoureuse pour être une bonne mère。 »Un récit à la limite du huis clos, oppressant, très psychologique, une vie de couple qui a tendance à partir à vau-l’eau。 Et pourtant ? Notre narratrice est-elle dans le vrai lorsqu’elle soupçonne son mari de ne plus l’aimer comme au premier jour ? J’ai douté avec elle。 Je me suis fourvoyée dans toutes ses suppositions et constatations pourtant loufoques mais présentées par l’auteure de manière si réalistes。 Côté rythme, j’avoue m’être essoufflée dans le dernier tiers, le récit devenant un peu redondant。 Heureusement, l‘épilogue a rehaussé le ressenti général de cette lecture, même s’il m’a laissé une impression de malaise。 Je ne peux malheureusement pas vous en dire plus, sinon, ce serait spoiler…Un roman que je vous recommande, si vous n’avez pas peur de gratter le vernis des apparences, et si vous avez envie de découvrir ce couple vraiment atypique !! Une belle surprise de cette rentrée littéraire pour moi。 « Nous sommes deux parents qui dînent avec leurs enfants, en pleine représentation familiale。 Je joue à la mère et lui au père。 Et mon mari me manque。 »#MonMari #MaudVentura #LIconoclaste #RentréeLittéraire2021 。。。more

Saint Akim

Avec un concept intéressant, le livre piétine assez vite à cause ses longueurs et une écriture assez décevante。 Ça manque de sauce vraiment。

Marion

This review has been hidden because it contains spoilers。 To view it, click here。 Un premier roman à l’angle intéressant : et si la passion ne mourrait jamais ?Ici, elle tourne bien sûr à la maladie mentale, mais le texte ne semble pas choisir de camp ni parvenir à mêler les genres。 Humour ? Critique du couple ? Parodie de l’histoire d’amour ? J’ai pensé à Leila Slimani et à son œuvre « Dans le jardin de l’ogre » qui parle aussi d’un dérèglement, mais dont le parti cru et violent rend le récit aigu et dérangeant。Ce n’est pas le cas ici。 Un texte appliqué comme ses références Un premier roman à l’angle intéressant : et si la passion ne mourrait jamais ?Ici, elle tourne bien sûr à la maladie mentale, mais le texte ne semble pas choisir de camp ni parvenir à mêler les genres。 Humour ? Critique du couple ? Parodie de l’histoire d’amour ? J’ai pensé à Leila Slimani et à son œuvre « Dans le jardin de l’ogre » qui parle aussi d’un dérèglement, mais dont le parti cru et violent rend le récit aigu et dérangeant。Ce n’est pas le cas ici。 Un texte appliqué comme ses références littéraires。 。。。more

Stephanie

Une femme qui pense aimer tellement son mari qu'elle ne sait plus comment l'aimer。 Elle note tout pour être sûre de cette amour énorme, parfait, réel。 Bon ça traîne en longueur, ça n'a pas beaucoup d'intérêt et on finit par se dire que cette femme est psychiatriquement atteinte。 Une femme qui pense aimer tellement son mari qu'elle ne sait plus comment l'aimer。 Elle note tout pour être sûre de cette amour énorme, parfait, réel。 Bon ça traîne en longueur, ça n'a pas beaucoup d'intérêt et on finit par se dire que cette femme est psychiatriquement atteinte。 。。。more