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Serge

Serge

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  • Create Date：2021-11-21 19:15:54
  • Update Date：2025-09-23
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  • Author：Yasmina Reza
  • ISBN：8433915991
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Summary

Tres germans jueus i una visita a Auschwitz。 Yasmina Reza dissecciona la família amb humor negre i aconsegueix commoure'ns。

La família d’aquesta novel·la –els Popper， jueus francesos no practicants d’origen hongarès– és força disfuncional， com moltes altres famílies。 Els tres fills –en Serge， la Nana i en Jean， el narrador– es mantenen units malgrat no poques diferències i tensions。 La vida no els ha tractat especialment bé， i mentre que la Nana té una sòlida relació de parella， els altres dos tenen una vida sentimental millorable。

Dos moments emmarquen la narració: el traspàs de la mare i una visita al camp d’extermini d’Auschwitz， lloc de pelegrinatge com a espai de memòria， però també una mena de parc d’atraccions pel qual es passegen turistes fent-se selfies。 I és que Serge és， entre altres coses， una crònica càustica dels absurds del segle XXI。 L’autora hi desplega una capacitat única per disseccionar els comportaments humans， uns diàlegs punxants i un humor negríssim， però també l’empatia cap a uns personatges imperfectes i paradoxals。

Aquesta tragicomèdia que indaga en la família i en els estralls de l’ineludible pas del temps és una nova mostra de l’immens talent d’una escriptora imprescindible。 Yasmina Reza llança dards carregats d’ironia i de sarcasme， però alhora aconsegueix commoure’ns amb uns personatges dolorosament i còmicament humans。

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Reviews

Lulamae ，

Il faudrait que je réécoute le podcast littéraire qui m'avait donné envie de lire ce roman。 Le panel de critiques ne tarissait pas d'éloges à son sujet; après lecture， la raison de cet engouement m'échappe。 Il y a bien quelques passages mordants， une petite ironie délicieuse qui flotte et déguise des questions profondes sur la valeur des liens familiaux， la notion de vie bien vécue， le rôle de la mémoire。 La fratrie Popper est attachante mais il faut d'abord traverser des premières pages foisonn Il faudrait que je réécoute le podcast littéraire qui m'avait donné envie de lire ce roman。 Le panel de critiques ne tarissait pas d'éloges à son sujet; après lecture， la raison de cet engouement m'échappe。 Il y a bien quelques passages mordants， une petite ironie délicieuse qui flotte et déguise des questions profondes sur la valeur des liens familiaux， la notion de vie bien vécue， le rôle de la mémoire。 La fratrie Popper est attachante mais il faut d'abord traverser des premières pages foisonnantes， pleines de personnages nouveaux， dont on ne sort qu'avec une idée floue de qui fait quoi。 C'est un roman à l'image de ce qu'est une famille， peut-être : une galaxie un peu foutraque de souvenirs et d'histoires， de tangentes narratives qui ne débouchent sur rien， un travail remis sur le métier par chaque génération dans l'illusoire possibilité de recommencer de zéro。 。。。more

Eva ，

Pues no está mal， pero tampoco es súper mega chulo。 Va de tres hermanos， que se van de viaje a Auschwitz como quien se va a cualquier otro sitio， los hermanos no se llevan bien， son un poco pesados， y una familia tan extensa que te pierdes cuando hablan de unos y de otros， al final van al médico a hacerse un chequeo y ahí se acaba el libro。

JUANAN ，

"Acuérdate。 Pero ¿por qué？ ¿Para que no se repita？ Pero si lo vas a volver a hacer。 Todo saber que no esté íntimamente ligado a uno mismo es en vano。 De la memoria no cabe esperar nada。 Este fetichismo de la memoria es un simulacro。""Aceptamos que la vida es un camino solitario mientras hay futuro por delante。" "Acuérdate。 Pero ¿por qué？ ¿Para que no se repita？ Pero si lo vas a volver a hacer。 Todo saber que no esté íntimamente ligado a uno mismo es en vano。 De la memoria no cabe esperar nada。 Este fetichismo de la memoria es un simulacro。""Aceptamos que la vida es un camino solitario mientras hay futuro por delante。" 。。。more

Daphne ，

J’ai trouvé ce livre grossier， vulgaire， pas drôle et inintéressant au possible。

Pascale ，

Hilarious and in the end quite moving。 It's hard to pinpoint where Reza's artistry lies。 There's not much plot but what she captures very well is the dynamic between 3 siblings who have followed different paths in life and get on each other's nerves， yet care deeply about too。 It's all in the dialogue and the crackling pace she maintains throughout。 A quick but worthwhile read。 Hilarious and in the end quite moving。 It's hard to pinpoint where Reza's artistry lies。 There's not much plot but what she captures very well is the dynamic between 3 siblings who have followed different paths in life and get on each other's nerves， yet care deeply about too。 It's all in the dialogue and the crackling pace she maintains throughout。 A quick but worthwhile read。 。。。more

Annie-Pier Guay ，

Ce n’était pas pour moi。 Propos intéressants， mais mauvais moment peut-être…

Bonichon ，

Une belle histoire de fratrie avec ses lots de discordes -excentricité exacerbée de Serge et des siens - et surtout de solidarité。

Stéphane Vande Ginste ，

Gelezen in originele versie- "Serge" is een roman over een familie， van Joodse origine。 Jean， de ik -persoon， is de broer van Serge en Nana Popper。 Hij vertelt de geschiedenis van zijn familie en vooral van Serge， die vereenzaamd en verbitterd door het leven gaat。 Veel geruzie in deze roman - en dan nog temidden van een bezoek aan het concentratiekamp in Auschwitz！ - en door de veelheid van personages en situaties wordt het verhaal ook vaak onduidelijk en moeilijk te volgen。 Je hebt soms de indr Gelezen in originele versie- "Serge" is een roman over een familie， van Joodse origine。 Jean， de ik -persoon， is de broer van Serge en Nana Popper。 Hij vertelt de geschiedenis van zijn familie en vooral van Serge， die vereenzaamd en verbitterd door het leven gaat。 Veel geruzie in deze roman - en dan nog temidden van een bezoek aan het concentratiekamp in Auschwitz！ - en door de veelheid van personages en situaties wordt het verhaal ook vaak onduidelijk en moeilijk te volgen。 Je hebt soms de indruk dat je zo plots in die familie gegooid wordt en dat je dus van niets weet。 De personages lenen zich wel tot een boeiende roman; toch beleef je niets in dit verhaal en het is bijzonder moeilijk om te personages te doorgronden， laat staan om wat empathie te voelen met hen。 Zijn hier autobiografische gegevens？ Ik weet het niet。 Maar boeiende literatuur is het in elk geval niet echt。。 。。。more

Eric Paradis ，

Si c’est supposé être drôle， je ne connecte pas sur ce type d’humour。 Si c’est supposé être profond， je n’ai jamais plongé…

Manon ，

Grosse déception。 Le résumé du livre me tentait beaucoup， une famille juive qui va visiter Auschwitz de nos jours。 On nous promettait de l’humour， des querelles familiales， et une réflexion sur la mémoire de tels lieux， un mélange entre le comique et le tragique。 Au final je n’ai pas accroché à l’humour （à part sur quelques passages， mais pas suffisant pour moi。。）， et j’ai trouvé ça vraiment plat， long… Il y avait tellement de potentiel vu le thème， c’est dommage！

Jean-Baptiste Gil ，

C'est un récit qui peint l'histoire d'une famille。 Lors d'une d'une visite d'auschwitz， les frères et sœurs se diront enfin leurs 4 vérités。 Une banalisation des caractères et relations humaines dans une écriture actuelle et parfois drôle。 C'est un récit qui peint l'histoire d'une famille。 Lors d'une d'une visite d'auschwitz， les frères et sœurs se diront enfin leurs 4 vérités。 Une banalisation des caractères et relations humaines dans une écriture actuelle et parfois drôle。 。。。more

Grégoire De La Basse-Meuse ，

A l’instar de Paolo Sorrentino qui se regarde filmer en oubliant qu’un film n’est pas fait que d’images， Yasmina Reza prend du plaisir à se regarder écrire， en oubliant qu’un livre n’est pas fait que de mots。 Œuvre inutilement bavarde， superficielle et déplaisante。

Etienne Mahieux ，

"Les enfants Popper"， Serge， Jean et Anne dite Nana （on sent qu'elle représente la condition féminine dans cette histoire…） sont frères et soeur et désormais largement quinquagénaires。 Leur mère vient de mourir， ils voient disparaître la génération qui les précède et le sentiment du vieillissement et du temps qui passe devient plus aigu。 Comme dit mon père， ils se retrouvent au bout du banc， en sachant qu'ils sont les prochains à tomber。 Empruntant le regard et la voix de Jean， le frère du milie "Les enfants Popper"， Serge， Jean et Anne dite Nana （on sent qu'elle représente la condition féminine dans cette histoire…） sont frères et soeur et désormais largement quinquagénaires。 Leur mère vient de mourir， ils voient disparaître la génération qui les précède et le sentiment du vieillissement et du temps qui passe devient plus aigu。 Comme dit mon père， ils se retrouvent au bout du banc， en sachant qu'ils sont les prochains à tomber。 Empruntant le regard et la voix de Jean， le frère du milieu， le plus conciliant des trois sans doute， le seul aussi qui n'a pas du tout construit de famille — au point de s'accrocher à son ex en tant que meilleur ami pour pouvoir continuer à s'occuper de son fils — Yasmina Reza propose dans ce roman une chronique de cette famille juive parisienne à l'heure des bilans。Naturellement， comme on est dans l'univers de la dramaturge de "Art" et du "Dieu du carnage"， on peut s'attendre à ce qu'il y ait du tangage dans les rapports de la fratrie， et des engueulades d'autant plus acides que les liens sont plus profonds et plus indissolubles : on ne prend pas la peine de se dire ses quatre vérités avec des indifférents， on s'éloigne。 Et l'explosion a lieu， curieusement， à Auschwitz， où les a traînés Joséphine， la fille de Serge， en quête de mémoire familiale。 Curieusement donc， comiquement bien sûr tant la tragédie historique met à distance les rancoeurs familiales aux prétextes futiles， mais pour moi non sans malaise。Au bout du compte， que nous dit "Serge" ？ Que nos vies sont médiocres （avec un sens du détail trivial à la Houellebecq）， que le temps passe， que nous mourrons tous un jour。 C'est bien vrai mais fallait-il convoquer Auschwitz pour nous le faire remarquer ？ Le regard acide de Yasmina Reza n'est pas ce qui me gêne : elle fait remarquer au bout du compte， par le biais de l'absurde， que visiter Auschwitz comme si c'était un château de la Loire est en soi une démarche plutôt problématique， et je suis bien d'accord。 Seulement ce n'est qu'un épisode dans l'histoire de la famille Popper， destiné à provoquer un effet de contraste。 Et quitte à avoir un nom de philosophe， s'ils s'appelaient La Boétie et étaient partis à la recherche de leurs racines à Sarlat pour s'engueuler au milieu des touristes， est-ce que ça changerait grand-chose au propos ？ Je n'ai pas l'impression。 Serge non plus : "C'était nécessaire cet Auschwitz ？ demande-t-il à Jean。 Dis-moi sincèrement。 On avait besoin de cette équipée ？" Au bout du compte， l'épisode， littéralement central dans le roman， m'apparaît comme une facilité （alors même que la romancière a pris — et manifestement évité — le risque de se faire hurler dessus）， au même titre que la culture générale des personnages， dont le niveau semble aller et venir selon que Reza a besoin d'employer ou non des références littéraires （le narrateur nous dit à un moment qu'il n'a lu que des BD dans son enfance， avant d'expliquer quinze pages plus loin qu'à cet âge-là il se récitait du Sholem Aleikhem）。Passons cependant aux qualités réelles de "Serge"。 Le choix du narrateur est judicieux， Jean， que son beau-frère un peu ostracisé voit comme "le seul à être équilibré" dans la famille alors que lui-même en doute， étant pour moi un personnage beaucoup plus attachant que Serge， adolescent attardé vivant de combines et habitué à jouer de son charme。 L'écriture a de l'humour au sens le plus ancien et anglais du terme : une sorte de légèreté imprévisible et excentrique， qui fait que les bons mots ont l'air d'arriver par hasard。 Enfin les dernières dizaines de pages， où le récit qui jusque là semblait empiler les anecdotes dans toutes les directions se recentre doucement sur les questions essentielles qui travaillent les personnages， sont émouvantes sans être jamais tire-larmes。 。。。more

Eli ，

Roman qui traite de la mort sous ses différentes formes。 Lecture assez ennuyeuse。 Seule la relation de Jean et Luc m'a touchée。 Roman qui traite de la mort sous ses différentes formes。 Lecture assez ennuyeuse。 Seule la relation de Jean et Luc m'a touchée。 。。。more

Gail ，

I have a confession to make。 I told one of my bookgroups not to read this。 I was about a third through the book and did not like it at all。 A lot of description， unlikeable characters， quite dull。 I had been told it was hysterical and was not finding it funny at all or even very readable。 But I changed my opinion about halfway in when the siblings go on a road trip。Hysterical it is not - the book mainly takes place in the grimmest place in the world - a place where the worst atrocites imaginable I have a confession to make。 I told one of my bookgroups not to read this。 I was about a third through the book and did not like it at all。 A lot of description， unlikeable characters， quite dull。 I had been told it was hysterical and was not finding it funny at all or even very readable。 But I changed my opinion about halfway in when the siblings go on a road trip。Hysterical it is not - the book mainly takes place in the grimmest place in the world - a place where the worst atrocites imaginable had taken place。 Each sibling reacts differently and quite violently to it and the fallout hightens pent-up animosities。 Reza has an incredible gift of description which is a joy to read。 The contradictions of the place are astonishing。 How can a sinister place be located in a beautiful forest？ How can a place of mourning also be a gaudy tourist attraction？In the end I loved it。 I can't stop thinking about it and am just waiting for it to be translated into English so can share with family。。。。 。。。more

Emeline Bruley ，

I loved some of her plays but this was very boring。

Claude ，

I gave up fifty percent into the book。 I just found it boring。 It’s my second attempt at a book by Yasmina Reza and I suppose I just don’t get her sense of humour。 Anyway I’ve be been trying， bit by bit for one month。 It is time to abandon ship。

Sandrine ，

Portrait d’ une famille française juive， Reza allie avec brio humour et emotion。 Les relations de la fratrie sont complexes et basculent entre scarcasmes， moments tendres et absence d’emotions 。。。jamais rien de banal。 On se retrouve et on se perd dans ces personnages loufoques。 Un vrai talent de conteur

Alex-Mot-à-Mots ，

Le roman s’ouvre avec Jean pour narrateur。 Nous ne découvrirons Serge que quelques pages plus loin。Serge est l’aîné de la fratrie， toujours suivi de Jean。 Anne est la seule fille。Le narrateur， Jean， nous raconte leur voyage à Auschwitz， sur les traces de la famille déportée : qui a eu l’idée et comment se déroule le voyage sur 3 jours。Par petites touches， nous découvrons Serge， mais surtout Anne et son mari Ramos que Serge et Jean moque gentiment ; Joséphine la fille de Serge à l’origine du voya Le roman s’ouvre avec Jean pour narrateur。 Nous ne découvrirons Serge que quelques pages plus loin。Serge est l’aîné de la fratrie， toujours suivi de Jean。 Anne est la seule fille。Le narrateur， Jean， nous raconte leur voyage à Auschwitz， sur les traces de la famille déportée : qui a eu l’idée et comment se déroule le voyage sur 3 jours。Par petites touches， nous découvrons Serge， mais surtout Anne et son mari Ramos que Serge et Jean moque gentiment ; Joséphine la fille de Serge à l’origine du voyage。J’ai aimé avoir des nouvelles de Maurice qui se boit chaque jour son petit champagne， lui qui ne peut plus se déplacer。Une belle galerie de portraits， des personnages attachants， mais une narration un peu trop disparate pour me faire dire que j’ai véritablement aimé ce roman。L’image que je retiendrai :Celle de la grue trop haute que Serge offre à son fils。https://alexmotamots。fr/serge-yasmina。。。 。。。more

Mylène Laurin ，

I was a little disappointed。 I LOVED the play “Art”， but had never read one of Yasmina Reza’s novels and I was expecting more。 It’s very well written and easily read， but it left me wanting。。。

Pierre Prisset ，

Chronique d’une famille juive avec visite d’aushwitchDe l’humour et une écriture sans phrases mais percutante

Gregory ，

What happens when a dysfunctional family visits Auschwitz for the first time？ How are you supposed to behave and to feel， surrounded by tourists and selfies？ How do everyone’s different reactions affect the family dynamics？ These were the premises of this book。 And it was awesome。

Matatoune ，

Serge est présent depuis le début dans tous les romans， et même les pièces， de Yasmina Reza。 L’auteure donne une réalité fictionnelle à son ami de littérature qui a contribué à son succès。Jean raconte sa famille， la famille Popper， au moment où les enfants se retrouvent orphelins de leurs deux parents juste après le décès de leur père。Jean décrit leur vie d’après et notamment celle de son frère ainé Serge， héros flambeur de son enfance mais qui se révèle malade d’anxiété et de peurs。 Dans sa nar Serge est présent depuis le début dans tous les romans， et même les pièces， de Yasmina Reza。 L’auteure donne une réalité fictionnelle à son ami de littérature qui a contribué à son succès。Jean raconte sa famille， la famille Popper， au moment où les enfants se retrouvent orphelins de leurs deux parents juste après le décès de leur père。Jean décrit leur vie d’après et notamment celle de son frère ainé Serge， héros flambeur de son enfance mais qui se révèle malade d’anxiété et de peurs。 Dans sa narration， il associe aussi sa sœur cadette， Anne dite Nana， au destin si dissemblable de ses frères qui a accompagné sa mère jusqu’à la fin。Cherchant à renforcer les liens avec leurs ancêtres， les frères et la sœur accompagnés de la fille de Serge vont entreprendre un voyage de mémoire au camp d’Auschwitz。Par ce roman， Yasmina Reza plonge dans le microcosme d’une famille， en décrivant les liens qui existent autant avec les parents qu’avec les frères et sœurs， époux et épouses et enfants。La suite icihttps://vagabondageautourdesoi。com/20。。。 。。。more

Caroline ，

Serge raconte l'histoire d'une famille hongroise juive qui décide de se rendre à Auschwitz pour suivre les pas de leur famille， persécutée pendant la Seconde Guerre Mondiale。 Tous les personnages ont des personnalités bien distinctes， ce qui permet de comprendre que ce sujet est assez tabou dans la famille。 Yasmina Reza aborde la thématique avec humour et ne la rend pas tragique comme on pourrait le croire。 Au contraire， les situations loufoques s'enchaînent quand la famille se rend sur les lieu Serge raconte l'histoire d'une famille hongroise juive qui décide de se rendre à Auschwitz pour suivre les pas de leur famille， persécutée pendant la Seconde Guerre Mondiale。 Tous les personnages ont des personnalités bien distinctes， ce qui permet de comprendre que ce sujet est assez tabou dans la famille。 Yasmina Reza aborde la thématique avec humour et ne la rend pas tragique comme on pourrait le croire。 Au contraire， les situations loufoques s'enchaînent quand la famille se rend sur les lieux。 Chacun apprend à se connaître et se rend compte qu'il s'agira plutôt d'un voyage touristique et non d'un hommage à leur communauté。 Les remarques sont justes et l'auteure réussit à remettre en cause le lecteur sur l'acte de "mémoire"。 Le seul défaut : on se perd facilement avec les personnages et on n'arrive plus à suivre le fil de l'histoire。 Ce qui fait qu'on ne s'attache pas forcément aux personnages et qu'on n'apporte pas trop d'importance à l'histoire。 La partie de la visite des camps reste la plus importante et la plus intéressante。 Je reste sur ma fin。 。。。more

Reference

google book https://www.google.com/search?tbm=bks&q=Serge

hathitrust digital library https://babel.hathitrust.org/cgi/ls?q1=Serge&field1=ocr&a=srchls&ft=ft&lmt=ft

The British Library https://bll01.primo.exlibrisgroup.com/discovery/search?query=any,contains,Serge&tab=LibraryCatalog&search_scope=Not_BL_Suppress&vid=44BL_INST:BLL01&lang=en&offset=0